Si la liturgie s’inspire c’est ici qu’elle a soignée son image de l’Enfer.
Dégueullis brulants.
Saumure dévorant tout ce que le bio a enfanté.
Corps échoués et dévorés.
Etendues où l’absence se fait poids.
Petites touches de gaz perfides.
Jeux des acides.
Camaïeux de poisons aux couleurs éclatantes.
Pourquoi se laisser aller à croire que la mort s’exhibe sous de ternes visages …
[ Éthiopie, février 2010 – Dalol (depression du Danakil) ]
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