mardi 13 juillet 2010

Mirages prolifiques, réalité désertique


M’a peau n’est plus que de sel,

Ma gorge un puits tari,
Mes yeux un sillon écartelé par l’éclat.
Etreinte étau de l’astre,
Baisers de poussières,
Caresses abrasives des brises brûlantes.
Désert d’afflictions et de charmes,
Tes essences bouillantes me nourrissent et me perdent...


[Palestine, le 13 juillet 2010]

3 commentaires:

Lionel a dit…

Vas falloir que je change de lentilles moi... je vois flou

Fredo Bahd a dit…

N'es tu pas simplement victime d'un mirage ?

Lionel a dit…

Houla si seulement!!...