Les chiens des rues fonctionnent comme des ados,
Seuls ils peuvent être agréables,
C’est en bande que tout dégénère !
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Au Maroc, dans l’atlas, j’avais toujours pléthore de cailloux pour repousser les belliqueux molosses. En Tunisie, je cours sur la plage, cela pourrait sembler moins éreintant… que nenni les projectiles manquant cruellement je cours chargé de réserves !
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Les chiens, fidèles compagnons des hommes, semblent en tous points les imiter.
Au café du coin, comprenez à l’ombre d’une poubelle, ils se prélassent, certains restent, d’autres saluent et poursuivent leur chemin en trainant le coussinet, ça se renifle, certains changent de table, parfois ça gueule, …
Mais surtout aux heures les plus brulantes de l'après-midi, ça contemple la rue dans un flegme absolu.
Cependant, eux, ont un savoir vivre, dont leurs congénères humains manquent cruellement : Leurs cafés sont mixtes !
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