Il est deux heure du matin,
La ruelle est déserte,
Le motocycliste s’y engouffre et
la remonte en staccato de klaxon !
Ce phénomène relèverait-il d’une
peur ancestrale ?
Appréhenderait-il d’écraser
quelques Djinns errants ?
Je crains que ce ne
soit plus grave, et que cette pathologie ait contaminé tant de Cairotes ; elle pourrait être décrite comme : "l’angoisse du silence".
[Egypte - Le Caire - 04/03/2015]
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