Leurs regards se perdent dans le fleuve qui charrie leurs
rêves,
La brise, de son souffle maternel, couve leur innocent amour,
Ils sourient que d’avoir confondu leurs pluriels en un destin singulier,
Leurs doigts s’épousent,
Surgit, en cet instant, un opportun vendeur de roses,
Comment refuser cette fleur couronnement romantique de
l’instant,
Comblée, les yeux de la belle s’abiment sur l’aimé,
Leurs visages dodelinent l’un vers l’autre,
L’instant est au sacre suprême : offrir ce baiser brûlant
leurs lèvres…
Gloups,… ravalé,… Et oui nous sommes au Caire !!!
[Égypte - Le Caire - Avril 2014]
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