Le projectionniste lance le documentaire que nous sommes venus découvrir à l’institut français de Tunis.
Aïe les protagonistes s’expriment en arabe non sous-titré, je tempête intérieurement sur mon siège de velours.
Puis un peu à la manière de mes grands moments de solitude face à certaines œuvres artistiques de (trop ?) haut-vol, j’oscille entre un premier réflexe m’invitant à crier au scandale et un second ou je m’afflige d’être probablement le seul niais à n’y comprendre goutte.
Les Tunisiens sont polyglottes chroniques, je suis monoglotte atavique !
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