Mon professeur d’arabe m’explique que la Tunisie est divisée en deux zones : celle riche où les gens s’expriment en usant de la lettre Q, et celles délaissées où les gueux utilisent le son G.
Si bien que pour railler leurs détracteurs certains singent leur prononciation citadine ou paysanne.
Être précautionneux à l’attention du point G, n’empêcha point que ces histoires de Q sont avant tout affaire de filiation.
1 commentaire:
j'ai sans aucun doute trouvé mon maitre!quelle belle plume
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