Ainsi, jeté sur mon banc, bercé par les fraîcheurs nocturnes, j’y observe mon petit monde :
Les touristes parqués dans leurs grands hôtels ont retrouvé leur occident chéri. Ainsi, dénués de la flopée d’accoutrements indécents et de la violence photographique, les lieux apparaissent plus authentiques. Mes yeux observent tantôt : quelques couples déambulant sans réel objectif, des hommes tout entier occupés à fumer, les arabesques de vapeur des cafetiers ambulants, les ombres coquines se jouant de leur mentor, et enfin ces gamins écumant le pavé de leurs insatiables jeux et imposant au calme crépusculaire des îlots sonores guillerets.
Les touristes parqués dans leurs grands hôtels ont retrouvé leur occident chéri. Ainsi, dénués de la flopée d’accoutrements indécents et de la violence photographique, les lieux apparaissent plus authentiques. Mes yeux observent tantôt : quelques couples déambulant sans réel objectif, des hommes tout entier occupés à fumer, les arabesques de vapeur des cafetiers ambulants, les ombres coquines se jouant de leur mentor, et enfin ces gamins écumant le pavé de leurs insatiables jeux et imposant au calme crépusculaire des îlots sonores guillerets.
Quel délice …
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